Country Lifestyle | Transformer notre maison de ville en coin de campagne, notre nouvelle aventure !

By mars 26, 2019






Aujourd'hui , nouvelle catégorie sur le blog. C'est une rubrique très particulière pour moi car elle touche un rêve de longue date, mais j'ai vraiment envie de partager ça avec vous.

Pour celles - et ceux - qui me connaissent bien ou qui lisent ce blog depuis les débuts , ce que je vais annoncer dans cet article ne sera pas une grande surprise, mais plutôt l'aboutissement d'un certain nombre de choses. Pour cette année 2019 (et toutes les autres à venir), nous avons donc décidé avec mon homme de poser les bases de notre future vie en mode "country". 

J'ai beau essayé de trouver un concept équivalent en français, je n'ai rien trouvé malgré de longues recherches sur Internet. A croire que c'est un concept typiquement anglais ou américain. Si je devrais définir ce mode de vie, je le qualifierais de très slow, un peu hygge, passionnément nature.  Et son mantra serait : savourer les plaisirs simples de la vie et profiter au mieux des grands espaces. 

Je préviens tout de suite, je ne suis pas spécialement nostalgique de la vie rurale, je n'idéalise pas du tout la vie agricole et mon projet est avant tout motivé par un besoin de revenir à la terre, à une vie plus ancrée à la nature, et aussi, à terme, un objectif d'autonomie pour moins dépendre du système actuel. En gros ,vivre pleinement de presque rien. Il me sert également de réceptacle pour assouvir mon insatiable curiosité en me permettant d'aborder des sujets qui m'intriguent et que je ne pourrais sans doute pas pleinement expérimenter avec une vie purement citadine comme m'initier aux travaux de la ferme au quotidien : cultiver ses légumes et ses fruits, faire son pain, avoir une ruche, réaliser mes propres conserves ...




Les origines du projet. 



Mon enfance à la campagne.


J'ai passé toute mon enfance, ou presque, à la campagne mais je n'ai pas toujours mesuré la chance que j'avais. Surtout ado, où je ne rêvais que d'habiter en ville pour pouvoir faire du shooping, aller au cinéma et être autonome. Par contre, il y avait déjà des petites graines de farmgirl plantées en moi. J'adorais aller en forêt cueillir des champignons avec mon papa, ramasser les fruits du vergers, me gaver de framboises à même l'arbuste, observer la nature au fil des saisons... Les libellules et les crapauds du bassin, la petite famille de hérisson croisé au détour d'un jardin, les oiseaux venant se ravitailler l'hiver, les nichées du printemps, le hibou au-dessus de ma chambre, les chauves-souris... C'était avec un plaisir non dissimulé que je suivais la vie de nos petits hôtes. 

Et puis, les fleurs. J'ai toujours été accro aux fleurs. En bouquet, dans les champs. Avec une fascination toute particulière pour les jardins de cottage, de curé, ou de campagne, nommez les comme il vous plaira. Avec leurs gros massifs fleuris, les glycines grimpant aux murs et les hortensias dans des grosses bassines en zinc ... Si on rajoute à ça que j'ai longtemps été cavalière, on peut dire que le virus de la campagne était déjà bien là. Il faut dire que j'ai une famille très proche de la nature aussi. Ma grand-mère adorait être en plein air. Mon père aussi. Il est paysagiste de formation. Pêcheur et chasseur de champignon à ses heures perdues. Fin connaisseur en oiseaux.Plus jeune, il voulait rentrer à l'ONF. Ma mère, un peu moins, mais tout de même, c'est une ancienne cavalière. On va dire que j'ai évolué dans un milieu favorable aux envies de nature. 


Un rêve trop rustique. 


Et puis j'ai grandis, et j'ai oublié. Je me suis laissé happée. Je n’avais pas la maturité et le recul nécessaires pour apprécier toutes ces choses qu’une vie à la campagne peut offrir .Surtout par la vie des autres, ces autres qui affichaient partout leur quotidien urbain de folie, les sorties, les resto, la voiture coupée sport, les sessions shopping, les cours de fitness, les voyages et autres tour du monde. Et j'ai enfoui tout ça. Je ne l'aurais jamais avoué à voix haute mais cela me semblait tellement "plat" comme comme projet de vie. Dire qu'on a envie d'élever trois poules et de planter des bulbes de tulipes en faisant son pain, cela me semblait moyennement intéressant quand les autres convives de la table vous parlent de leur job de dingue, de leur prochain voyage à l'autre bout du monde ou de l'achat de leur téléphone dernier cri. C'était tellement old school.  Tellement ennuyeux. Je me faisais l'impression d'avoir les rêves et les objectifs de vie d'un nonagénaire. Et la campagne était devenu le symbole ultime de l'encroûtement à mes yeux. Donc je me suis coulée dans le moule. Et je me suis retrouvée à rêver des mêmes choses et à faire les mêmes projets que la majeur partie des gens. Sans plus rien écouter de mes émotions, de ce qui me faisais vibrer ou de ce que je prenais plaisir à faire. 

Envie de découvrir d'autres citadins qui ont décidé de cultiver leur rêves ailleurs que sur du bitume ? C'est ici


Mes sources d'inspirations. 


Puis je suis tombée malade et j'ai été obligée de ralentir. De me mettre pratiquement au point mort. Et j'ai commencé à renouer avec ses aspects là de ma vie. Ballades en forêt entre midi et deux, fabrication de confiture, jardinage ... en parallèle d'autres choses sont venues s'ajouter dans mon quotidien : ma formation en naturopathie, mon choix de me soigner au maximum avec des médecines douces, mon engagement écologique, mes premières randonnées dans les Vosges. J'avais enfin renoué le contact avec la nature et tout à  commencé à rejaillir :  mes rêves d'enfants, me voyant à la tête d'une pension équine, mes parties de jeux, où je faisais semblant de cultiver mon potager, mon plaisir à respirer l'odeur de la mousse en forêt ou l'herbe coupée un soir d'été ... 


Des congés champêtres hautement inspirants. 


Puis il y a eu un voyage en Auvergne, une petite maison en pierre perdue au milieu de la forêt, des champs de fleurs et uniquement bercée par le bruit des oiseaux. Les soirées près de la cheminée , blottie dans le canapé, les fins d'après-midi dans l'herbe à regarder les branches brouter et un profond sentiment de sérénité. Un émerveillement constant. Et mon cerveau qui ne cessait de flâner, imaginant ce que serait notre vie si on y était à l'année. Et j'avais le cÅ“ur débordant de joie. 


La vie campagnarde 2.0. 


De fil en aiguille, j'ai commencé à m'intéresser de plus en plus à un mode de vie plus naturel, campagnard. C'est un sujet très vaste. Permaculture, produit home made, tricot, élevage de poules, installation de ruche, jardin en carré ou même décoration de la maison. Je suis bien sûr tombé sur d’innombrables blog anglophones. Pinterest est également une énorme source d'inspiration. Tout comme Tumblr. J'ai commencé à compulser les photos, les liens, pour en faire un tableau d'inspiration géant. Plus j'avançais dans mes recherches, plus je me rendais compte que j'aimais la philosophie qui accompagne ce mode de vie : une vie calme et tranquille, sans stress, au bon air, en contact avec la nature, privilégiant la qualité à la quantité ... Un mode de vie respectueux du vivant et des autres., porté par des valeurs de partages, d'entraide, de générosité. En me disant qu'un jour moi aussi je vivrais comme ça. Sans vraiment rien changer, sans rien amorcer. Il me suffisait d'en parler, de lire un article d'une de mes blogueuses british ou de regarder mes trouvailles pour être rassérénée. 


Une aventure de couple. 

Bien sûr, j'ai beaucoup parlé de moi, puisque je suis l'initiatrice du projet, la semeuse d'envie, si je puis dire. Mais ce mode de vie est aussi une décision de couple, car c'est un projet global qui ne peut se faire sans le soutien de son partenaire, ou de sa famille. C'est un choix très impactant, tant financier, que d'un point de vue du temps, de l'organisation, des priorités ... Clairement, je ne pense pas que ce projet aurait autant évolué si j'avais été célibataire ou que mon compagnon avait l'âme plus citadine que campagnarde. Par chance, mon homme est aussi sensible que moi au charme du grand air et de la vie en pleine nature. Cavalier, vttiste, randonneur, il a aussi besoin de sa dose de chlorophylle pour se sentir bien. 

J'ai aussi la chance qu'il soit très débrouillard et bricoleur, ce qui nous aide grandement dans la réalisation de certaines activités. Avec lui tout est beaucoup plus simple, puisqu'en plus d'avoir des compétences et des savoirs complémentaires, nos caractères s'équilibrent et donnent beaucoup de dynamique à toute cette affaire. Je suis la tête et il est les mains. J'imagine et il réalise. Le partenariat idéal pour se lancer dans une idée pas piquée des hannetons ! Bien sûr, toutes les décisions sont prises de concert, avec parfois de longues discussions ou négociations. Il faut bien que quelqu'un me tempère un peu ! 

Je ne pense pas que ce soit un projet de vie infaisable seul mais cela demande beaucoup de volonté. On peut vite se sentir dépassé par la somme de choses à apprendre ou par la masse de travail à accomplir, même s'il y a de plus en plus de choses qui sont faîtes pour pousser les initiatives dans le bon sens. J'ai été par exemple ravie de voir sur les étales de ma librairie des livres récents sur la mise en bocaux, le jardinage en lasagne ... Et puis, tout est une question d'échelle et de rythme. Il y a tant de façon d'aborder ce mode de vie que chacun, même en appartement, peut bien s'initier en douceur à cette nouvelle façon de vivre. Par exemple, j'ai une amie citadine qui a décidé de faire tout ces produits maison ( conserves, confitures, pain, yaourt, biscuits, granola ..) , qui a installé un mini potager sur son balcon et qui s'est récemment mise à tricoter ... Qui sait où cela peut bien la mener ? 


Et maintenant ? 

Se la jouer "Farmhouse in the city". 


Aujourd'hui j'ai envie de passer à la vitesse supérieure. De transformer toutes ces idées, ces envies, en actions plus concrètes. Pour l'heure actuelle, notre lieu de vie se plie parfaitement à nos objectifs. Nous sommes en ville, mais dans un milieu très préservé,  enclavé par l'une des plus belles forêts de France, nous avons un grand terrain qui nous offrent une infinie de possibilité, des dépendances parfaites pour nos projets ... Tout en gardant les commodités de la vie urbaine, les commerces de proximité et compagnie.  

Mais revenons à nos moutons.  

Pour cela, je pense faire un article tous les trimestres avec les objectifs à atteindre, les projets en cours, ceux qui sont finis ... 

De cette façon, vous pourrez suivre notre progression vers notre nouvelle vie, les petits bonheurs, les petits tracas ( car il y en aura, je n'en doute pas haha !), mes découvertes ... 

Mais j'aimerais aussi vous faire des billets plus spécifiques sur certains thèmes, car cette façon de vivre amène avec elle des questionnements plus profonds, sur la mode, la façon de consommer, de s'alimenter, d'organiser son quotidien ... Je fourmille d'idées et de projets que j'ai hâte de partager avec vous. 

Bien sûr, vivant en milieu urbain, mon projet connaîtra quelques limites pratiques mais cela me motive d'autant plus pour vous convier à suivre cette nouvelle aventure, car j'espère bien vous inspirer : déco, brico, recettes, bien-être et vie saine sont au programme ! 

Ce projet se croisant avec la refonte de mon activité professionnelle, mes journées risquent d'être fortement occupées et je pense donc ralentir le rythme de publication du blog. Je vais essayer de publier un article une semaine sur deux car je n'ai pas envie de sombrer sous la pression et les impératifs. 

Et histoire de bien commencer cette nouvelle rubrique, je vous donne rendez-vous la semaine prochaine avec un billet "Country Lifestyle - Second trimestre 2019 - Mes bonnes résolutions". 

Nous nous retrouverons ensuite fin-juin début juillet pour un article bilan et un article annonçant les objectifs pour le troisième trimestre 2019. Entre les deux, il y aura des billets plus pointus sur les thèmes suivants : vivre à la campagne, avoir une maison écologique, faire un potager bio, la cueillette, l'élevage, les produits fait maison ... 

J'espère que ça vous plaira ! 

Pour clore ce billet en beauté, je vous laisse avec un mini- moodboard d'inspiration 100% country lifestyle ! 





 
Toutes les photos viennent de Pinterest

Conclusion 


Parfois nos rêves ne se nichent pas là où on l'imagine. Les chemins et les projets de vie sont comme nous : unique. Et ils tiennent rarement compte de votre avis , de votre âge, de votre situation et des diktats de la société. Et parfois, ils ne sont pas évident à suivre. Le mien, par exemple, aussi bucolique qu'il semble l'être sur les épingles Pinterest ne reflète en rien ce qu'il est en réalité. Avoir un jardin anglais demande énormément de temps, de patience , de persévérance. Ce n'est pas non plus donné à tout le monde d'élever des poules ou de réussir ses semis, de lutter contre x invasions de mauvaises herbes, de soigner le vieux cerisier malade, de gérer la production des fruitiers ... Mais quand on trouve vraiment ce qui nous émeut, ce qui nous fait nous sentir vivant, alors les contraintes et les aléas deviennent moins rudes à affronter. Et les bons moments finissent toujours par effacer les moments de doute, d'incertitude ou de découragement. 

Si vous avez des questions, remarques ou suggestions, n'hésitez pas à m'en faire part dans les commentaires.







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12 Comments

  1. J'aime beaucoup Di ! Hâte de découvrir cette nouvelle rubrique Elle me parle beaucoup et je sens dans tes mots comme c également très présent chez toi Comme un rêve qui se réalise Un épanouissement Je t'imagine comme une fleur qui s'ouvre, et c'est très beau a voir ! Bravo ! Bisous

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    1. Oui, c'est vrai c'est très épanouissant ! :)

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  2. J'adore ton moodboard ! C'est tellement bucolique ! Je trouve quand même que ce retour à la nature est une vraie tendance de fond, avec de gros projets de vie derrière et c'est chouette ! Il faut vraiment soutenir toutes les alternatives ! En ce moment, j'entends beaucoup de parcours de reconversion en lien avec l'écologie, l'artisanat ou autre .. mais c'est vrai que chacun peut s'y confronter dans son quotidien ! :)

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    1. Merci ! Oui, il y a une tendance de fond. Je pense que les gens se rendent compte qu'on ne peut pas continuer à ce rythme !

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  3. J'avoue que je comprends pas trop cet engouement. Je trouve qu'il y a quand même plus simple pour soutenir de nouvelles façons de consommer que d'aller s'enquiquiner à faire un potager, avoir une ruche, des poules, faire du composte … C'est peut-être très bien quand on travaille pas mais quand on est salarié et qu'on rajoute les transports et le reste c'est juste impossible. Pourquoi ne pas plutôt soutenir des alternatives déjà existantes ? En plus de faire du bien à la planète, c'est solidaire, parce qu'au final, ton projet il ne sert à personne d'autre qu'à toi-même ? ^^'

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    1. Je suis plutôt d'accord avec toi. Pourtant, j'adore jardiner. Cela me rappelle quand j'étais petite dans la maison de famille, quand je faisais le potager avec mon pépé. Du coup, j'ai fais tout un potager et des plantations dans mon appartement (je suis pas une citadine dans l'âme personnellement, mais j'ai lu une étude comme quoi vivre en ville est plus écolo, ce qui me conforte à rester dans petit studio en éco-quartier). Par contre, pour le reste, je trouve qu'il y a pleins d'alternatives sympas et écologiques sans avoir besoin de perdre du temps à faire soi-même. Mais chacun doit trouver son compte dans ce cheminement et si Di est curieuse de tester ces choses-là je ne vois pas en quoi ça serait dérangeant. C'est plutôt enrichissant ...

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    2. Laeriss => En effet, je ne travaille pas au sens salarié du terme. J'essaye de monter mon entreprise en freelance ce qui me permet de me dégager du temps. Je comprends qu'on ne puisse pas envisager de faire cela en travaillant à temps plein mais comme c'est plus un mode de vie qu'un loisir je pense que lorsqu'on s'engage dans un projet de ce type, on accepte de changer d'autres aspects de sa vie courante ou alors comme tu le dis, on soutient les projets alternatifs d'une façon différente ! Notre projet profite aussi à notre entourage puisque nous partageons avec eux nos productions donc s'il ne sert pas le collectif au sens large, il touche bien d'autres personnes que nous.

      Alesya => J'avais aussi lu cette étude, ce qui nous à convaincu de rester en milieu "urbain" plutôt que de chercher à vivre en ermite au fin fond d'une vallée ! C'est chouette les éco-quartiers, c'est des projets que je trouve très intéressant. Merci pour ton gentil mot et ta compréhension :)

      Alesya =>

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  4. Ah pour la décoration, je te comprends totalement. On a du déménager avec l'arrivée prochaine du bébé et j'avais envie de changer de style, avant de me rendre compte que mon Pinterest était un gros mix and match et que j'aime des tendances totalement inconciliables XD Du coup, on a fait appel à des pro et quand on a fait le test de style déco , j'étais à moitié sur le style vintage et à moitié sur le style ethnique donc on a choisi de faire un mix des deux :p C'est pas facile de choisir car on doit s'y sentir bien et puis quand même,; ça reflète notre personnalité ..

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    1. Nous aussi on aime plusieurs influences dans la décoration. On a réglé la question en choisissant une palette de couleurs et en s'y tenant. On évolue maintenant autours de cette harmonie colorée et après peu importe le "style" du mobilier.

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    2. Ah moi aussi, j'ai vraiment du mal à me décider ! Du coup, je pense faire en fonction des couleurs aussi. On a des neutres ( gris, beige, noir blanc) et en couleurs fortes ( du bleu marine et sûrement qu'on va partir sur une touche de mint/ de vert sauge .. du vert en tout cas hahaha). Vous avez choisi quoi ?

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  5. Et bien ! Cela fait longtemps que je ne suis pas passée par ici ! Que de changements (mais tu me diras, chez nous aussi !) et de beaux projets ! :) C'est une très belle aventure dans laquelle vous vous êtes lancé ! Nous avons aussi acheter une maison, avec trois enfants (bientôt 4) et trois chiens, il faut bien du terrain et nous avons aussi commencé un potager et pris des poules (trois bantam de pékin frisées, je sais pas si tu connais ? mon obsession de l'Asie se traduis vraiment de façon étrange parfois mdr) dans les plantes du jardin) , c'est un peu compliqué avec les chiens mais on gère. Les garçons adorent chercher les œufs et Héloïse c'est de donner les graines hahaha. Je trouve que ça les épanouis beaucoup.

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    1. Oh, c'est vrai ? Encore un petit poussin ?! Vous devez être tellement content ! Je ne savais pas que tu avais pris un troisième chien ?! Encore un galgo ? :) C'est chouette de faire le potager avec les enfants, moi j'adorais cueillir les framboises chez ma grand-mère quand elle nous gardait pendant les congés ! Oui, je connais cette race, mon père en avait mais des classiques, pas des frisées, je viens de regarder, elles ont un look XD

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